Maurane malgré les difficultés elle était une mère « réconfortante » pour sa fille unique Lou

Décédée le 7 mai 2018, Maurane laisse derrière elle sa fille de 24 ans, Lou Villafranca. Malgré ses absences répétées, liées à son métier, la chanteuse a toujours été une mère “réconfortante” comme elle l’expliquait dans les colonnes du magazine Platine, en 2011.

En 1993, Maurane donne naissance à Lou. Une petite fille née de son union avec le chanteur et comédien espagnol Pablo Villafranca. Mais à cette même époque, la chanteuse belge est au sommet de la gloire. Le succès est tel qu’elle est régulièrement contrainte de s’absenter pour sa carrière. Divorcée peu de temps après l’arrivée de cet heureux évènement, c’est à sa maman qu’elle confie sa fille. “Ma mère s’est beaucoup occupée d’elle quand elle était petite. Sans elle, je ne sais pas trop ce que j’aurais fait. Avec ma mère, on s’est souvent critiquées sur l’éducation à donner à ma fille, mais on s’aime”, déclarait-elle. Une situation difficile pour Lou, alors toute petite, comme Maurane l’expliquait. “La culpabilité, ça ne sert à rien… C’est mon métier, elle l’a accepté après me l’avoir reproché, on en a parlé.”

Click Here: Fjallraven Kanken Art Spring Landscape Backpacks

Malgré les tensions entre les deux femmes, toutes deux ont fini par se comprendre et les relations se sont apaisées. “Même si parfois on se chope comme mère et fille, on a des rapports assez jolis.” D’ailleurs Maurane affirmait être “une mère protectrice et réconfortante” pour son unique fille, récemment diplômée de Sciences Po. Une véritable fierté pour l’interprète de Toutes les mamas, qui lui a d’ailleurs dédié une très jolie chanson sur son dernier album Ouvre, sorti en 2014. Intitulée Je voudrais te dire, celle-ci résonne comme les dernières confessions d’une mère à sa fille.

Bouleversée suite au décès de sa maman, qui à en croire la presse belge aurait succombé à une crise cardiaque, la jeune femme de 24 ans a immédiatement changé sa photo de profil Facebook pour la remplacer par écran noir.

Crédits photos : COADIC GUIREC / BESTIMAGE