Pierre Casiraghi généreux : ce geste que s’apprête à faire le fils de Caroline de Monaco pour Greta Thunberg

Patron d’une régate et vice-président du Yacht Club de Monaco, Pierre Casiraghi est un grand amoureux de la mer. Un farouche passionné qui s’apprête dès le mois prochain à prendre le large sur le voilier Malizia II, en direction les côtes américaines, avec une invitée très spéciale à bord.

Stefano Casiraghi a beau s’être tué en mer (décédé en 1990 des suites d’un accident de off-shore), cela n’a pas empêché Pierre Casiraghi, 31 ans, son fils cadet eu avec Caroline de Monaco, de tomber amoureux des mers et des océans.

Et après une série d’obligations familiales – du mariage de sa sœur Charlotte à la récente noce de son cousin Louis Ducruet -, l’aventureux et rebelle Pierre a décidé de reprendre le large. Le jeune père – marié depuis quatre ans à Beatrice Borromeo, avec qui il a deux garçons (Stefano et Francesco) – va en effet voguer, dès le mois prochain, vers de nouveaux horizons à bord de son voilier.

Pierre Casiraghi sur le Malizia lors de la 36e édition de la “Copa del Rey” à Palma de Majorque, le 31 juillet 2017. – Bestimage

S’il a décidé de partir naviguer dans une quinzaine de jours vers le continent américain avec son équipier – le skipper allemand Boris Herrmann -, ils ne seront pas seuls à bord du Malizia II pour effectuer cette traversée de l’Atlantique, puisqu’ils ont invité la figure de proue de la lutte contre le réchauffement climatiqueGreta Thunberg, 16 ans – à être également du voyage, comme nous l’apprend le site du magazine Paris-Match.

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La jeune militante suédoise – devenue très populaire depuis qu’elle a protesté face au parlement suédois pendant des jours pour son inaction face à l’urgence écologique – est régulièrement invitée à s’exprimer lors de congrès aux quatre coins du monde. Seul hic, et de taille : Greta refuse de prendre l’avion pour se déplacer, un moyen de locomotion qu’elle juge pas assez écolo. Résultat : elle est obligée d’affronter toutes sortes de périples, comme en janvier où elle s’est rendue en train de Stockholm à Davos, en Suisse, afin d’assister au Forum Economique Mondial, pour un voyage qui aura duré plus d’une trentaine d’heures. Mais c’est le prix à payer pour respecter ses idéaux.

Greta Thunberg lors d’une marche des jeunes pour le climat à Paris, le 22 février 2019. – Bestimage

Pour se rendre à New York, où se tiendra le 23 septembre le Sommet Mondial sur le Climat, Greta a donc trouvé la parade grâce à Pierre Casiraghi : “On m’a proposé une place sur le bateau de course Malizia II. Nous traverserons mi-août l’océan Atlantique du Royaume-Uni jusqu’à New York”, a-t-elle confié sur les réseaux sociaux.

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Team Malizia – skippered by Pierre Casiraghi and @borisherrmannracing will be sailing @gretathunberg emission free across the Atlantic for the UN Climate Action Summit this August. Greta’s mission is one we strongly support and believe in, Greta is an ambassador who delivers a fundamental message both for our society and for the survival of future generations and we are honoured to be able to take her to America to continue her work. #UniteBehindTheScience #gretathunberg #fridaysforfuture #climateactionnow #aracewemustwin #teammalizia

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Un voyage zéro carbone (qui devrait donc ravir la jeune militante suédoise), décrit ainsi par Boris Herrmann sur son site internet : “Après des mois de recherche et de réflexion sur les différentes options concernant son voyage, Greta traversera l’Atlantique à bord d’un voilier de course zéro carbone, le Malizia II, construit en 2015, équipé de panneaux solaires et de turbines sous-marines permettant de produire de l’électricité sur le bateau.”

Greta, qui était ce 23 juillet invitée à l’Assemblée Nationale à Paris (où certains élus l’ont boycottée, jugeant sa vision “trop alarmiste”), profitera de ce voyage sur le continent américain pour passer plusieurs mois dans ses pays, et se rendra notamment au Chili en décembre pour la COP 21 : “J’ai décidé d’essayer de prendre une année sabbatique et de voyager dans différents endroits, par exemple du nord au sud de l’Amérique où j’ai reçu plusieurs invitations pour assister à des sommets”, confiait-elle à l’AFP en juin.

Greta Thunberg à l’Assemblée Nationale, à Paris, le 23 juillet 2019. – Bestimage

Une jeune icône écolo, dont on n’a pas fini d’entendre parler.

Crédits photos : Bestimage