Laura Smet se confie sur son enfance difficile : « Je me faisais cracher dessus »

Les camarades de classe de Laura Smet n’ont pas été tendre avec elle. Cataloguée comme “la fille de”, elle a été vivement importunée. Et ce, même par certains de ses professeurs.

Six mois après le décès de son père et en pleine bataille judiciaire face à Laeticia Hallyday, Laura Smet sort peu à peu de son silence. Ainsi, elle a accordé un long entretien à nos confrères du magazine Elle, afin de promouvoir son premier court-métrage en tant que réalisatrice, et lors duquel elle a dirigé sa mère. A 34 ans et en dehors de la peine incommensurable liée à la perte de son papa, Laura Smet semble s’épanouir. Si bien, qu’elle envisage de fonder une famille avec son compagnon.

Si c’est compliqué pour elle d’évoquer la mort de son père, elle a néanmoins partagé le dernier souvenir qu’ils ont en commun. Et elle évoque sans grande difficulté son enfance aux côtés de Johnny Hallyday et Nathalie Baye. Grâce à ses parents, elle peut affirmer avoir “eu une enfance absolument merveilleuse“. Ce qui n’était pas forcément le cas à l’école.

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Ses camarades de classe n’hésitaient pas à la chahuter à cause de la célébrité de ses parents. “A l’école, je n’avais aucun vêtement de marque, aucun signe qui puisse montrer que j’étais ‘la fille de’. Ce qui ne m’a pas empêchée de me faire cracher dessus par des élèves“, a-t-elle confié dans les colonnes du magazine Elle.

Pire encore, même certains de ses professeurs s’y mettaient, en lui lançant des piques devant les autres élèves. L’un de ses enseignants lui a même clamé : “Toi, t’as pas besoin de travailler. Ton avenir est tout tracé !” Sans grande surprise, celle qui a refusé de prendre le nom de scène de Johnny n’a donc “pas adoré l’école. Puisqu’on me ramenait à ce que j’étais, j’ai voulu prendre la tangente, l’opposé. J’ai fait une crise d’ado un peu violente, mais j’avais besoin d’en passer par là“. Crise d’adolescence dont se souvient encore certainement Laeticia Hallyday.

Pourtant, dans leur éducation, Nathalie Baye comme Johnny hallyday, ont tout fait pour éviter à leur fille d’être cataloguée comme “enfant de”. “Ma mère a toujours fait en sorte de m’élever comme n’importe quelle autre petite fille, se remémore-t-elle. Elle était à la fois très douce et assez stricte. Très maternelle, à l’inverse de mon père, qui était davantage un père-copain“.

Crédits photos : Bestimage